La stratégie du gouvernement pour lutter contre une reprise de l’épidémie repose sur un suivi des « cas contacts ». Les autorités prévoient un « système d’information », reposant sur deux bases de données médicales.
Source : Les Numériques
Encore des nouvelles applis. Ça en fait beaucoup. On pense au DMP, qui existe déjà.
Notre système d’informations public, et bien au-delà de la Santé, est un joyeux capharnaüm.
On pourrait imaginer un ensemble unique, articulé autour d’une seule base de données nationale, avec un système de contrôle d’accès en béton.
Les épidémies ne sont pas nouvelles, et le suivi des contacts et des transmissions possibles fait forcément partie du dossier médical.
Avec un système intégré, sécurisé et transparent, il n’y aurait plus d’excuse bidon à ne pas l’utiliser. Comme par exemple ces médecins qui se targuent de ne pas l’alimenter. L’efficacité impose l’exhaustivité.
Voir Le système d’informations Marianne
