Avec cette nouvelle structure, des excédents financiers considérables sont apparus. Le déficit public qui était en 2019 de 60 milliards d’euros, est remplacé par un excédent de 90 milliards d’euros, toutes choses égales par ailleurs.
Ces 150 milliards d’euros annuels redonnés aux français proviennent de plusieurs sources :
- Les effets de la rationalisation et de la mutualisation des moyens (économies)
- Le surplus de recettes favorisé par la réduction spectaculaire de l’économie souterraine, de la fraude et de l’évitement de l’impôt, et le regroupement de toutes les fonctions de contrôle
- Dans une bien moindre mesure, la baisse des dépenses sociales provenant de ces même contrôles plus efficaces
- Une nouvelle taxe sur le brassage d’argent
L’utilisation de cet excédent n’est pas discutée ici. C’est le travail de nos élus en association, dans le cadre participatif constitutionnel, avec les citoyens.
Ils peuvent alors choisir de baisser la TVA et les taxes, d’augmenter les salaires et retraites nets et l’aide aux plus démunis, de renforcer nos moyens (enseignement, justice, défense, sécurité, renseignement, proximité…), d’investir dans nos infrastructures, d’effacer le déficit chronique, de rembourser de la dette…
Il y a aussi eu des gains financiers indirects, conséquences pour parties des avancées qualitatives.
Au-delà des considérations financières, des avancées qualitatives majeures :
- Attractivité des métiers de la fonction publique dite de bureau
- Du fait du regroupement physique et des conditions de travail modernes, gains de temps et d’efficacité énormes pour nos dirigeants nationaux
- Augmentation de la sûreté et de la sécurité
- Préservation du patrimoine immobilier historique maltraité depuis tant d’années par les activités de bureau
- Effacement des symboles monarchiques, de luxe et de déconnexion indécents ou mal vécus
- Diminution de la circulation dans Paris et les grosses métropoles
- Plus grand respect de l’environnement
- Diminution du prix des loyers dans Paris ; éclatement de la bulle immobilière ; même effet dans une moindre mesure dans les grandes métropoles
- Évolutivité du système dans son ensemble ; diminution du risque d’obsolescence ou de saturation
- Souplesse et réactivité pour la mise en œuvre opérationnelle de nouvelles règles
- Amélioration inédite des conditions de travail des fonctionnaires (administratifs et fonctionnaires de contact – les conseillers Marianne) ; revalorisation de leur statut
- Regain d’activité pour les entreprises françaises de BTP et d’aménagement
- Boost donné aux territoires à la base défavorisés jouxtant la Cité Nationale ; emploi de personnels locaux pour les services communs ; symbole fort de reconnexion
- À travers la Cité Nationale, affirmation concrète que la France ne se résume pas à Paris
- Simplifications majeures pour les particuliers, les foyers fiscaux et les entreprises, avec le guichet unique, le conseiller unique, le centre d’appels unique, le portail unique, le compte unique, les mouvements bancaires globalisés de et vers le compte de la Nation à la Banque de France
- Simplification majeure pour les entreprises, à travers la suppression de la fonction de tiers collecteur, qui rendra le plus souvent inutiles les logiciels de paye ou la paye externalisée
- Simplification et accroissement de la sécurité pour les commerçants, du fait de l’absence de caisse en liquide
- Economies importantes pour les banques, qui n’ont plus d’argent liquide et de distributeurs à gérer, et plus de calcul ni de collecte des prélèvements libératoires à assurer
- Simplifications pour les notaires, qui n’ont plus à calculer et à collecter les droits de mutation
- Plus grande transparence des règles
- Retour du sentiment de justice fiscale, à travers les contrôles renforcés et les règles durcies autour de l’optimisation fiscale
Par effet d’exemplarité et d’image moderne, retour du leadership de la France