Les gains financiers directs représentent 150 milliards d’euros par an. Cela a fait passer le déficit chronique de 2019 (60 milliards d’euros) à un excédent de 90 milliards d’euros.
Les gains financiers directs sont indiqués poste par poste dans ce tableau.
Ils sont le produit de différents grands changements par rapport à 2019 :
- La disparition de l’argent liquide
Cela représente un impact direct sur les recettes fiscales. En effet, il n’est plus possible, ou au minimum très risqué, de masquer de l’activité.
- Les contrôles centralisés et renforcés
Ils permettent là aussi d’augmenter les recettes fiscales. Ils ont aussi, dans une moindre mesure, un impact bénéfique sur les dépenses de prestations sociales.
- La fin du mille-feuille territorial
Impact très important sur la masse salariale, en très forte diminution, et la consommation intermédiaire.
- La mutualisation des moyens
Très bénéfique également pour la masse salariale et les frais de consommation intermédiaire.
- La TBA
Elle génère de fortes recettes supplémentaires.
- Les opérations immobilières
Le déménagement à la Cité Nationale a généré de belles économies en matière de loyers. Elle produit également des recettes nouvelles : location d’espaces de bureaux dans les tours, billetterie visiteurs.
La vente ou la réaffectation de nombreux bâtiments institutionnels a rapporté presque 10 milliards d’euros dans les caisses de l’Etat.
Les opérations immobilières de même type menées au niveau local ont eu elles aussi, mais dans une moindre mesure, leurs effets positifs.